Contribution n°66 (Web)
Déposée le 3 octobre 2025 à 17h37
En effet celui ci , sil ne fonctionne qu au ralenti actuellement (grâce aux décisions à courte vue prises , d abord par la CCI et ensuite par le Conseil Départemental , qui n a rien fait pour redresser la situation , ce port secondaire doit garder toutes ses possibilités de trafic dans l avenir , car aussi bien au plan économique qu environnemental , il est appelé à jouer un rôle important , comme les nombreux ports territoriaux français .
L arrêt du cabotage international a , localement entraîné la perte de 120 à 150 emplois (1 emploi etp/1000T manutentionnées) et provoqué l augmentation d 1 000 000 de km/an du camionnage par les entreprises utilisatrices du port (ferrailles vers Nantes et Brest et graviers vers St Malo) .
Le quai sud du bassin à flot doit conserver tout son linéaire utile , le hangar bord au quai d Orléans doit rester en entier à sa place et l 'aire d'évitage du bassin doit être préservée . Ceci afin de pouvoir continuer à recevoir dans l avenir des navires de 6 à 7000T de port en lourd comme c est le cas , ne l oublions pas . La largeur du sas et les tirants d'eau le permettant largement .
Contribution n°65 (Web)
Déposée le 3 octobre 2025 à 13h15
D autre part le diagnostic bâti semble un peu léger et pas très explicite. Wikipedia semble mieux renseigné. D ailleurs est il abouti ? quand les photos ne sont pas présentes p.137 et p. 139. ( Le phare du senequet est-il sur notre territoire ? Surement vu de Paris) P. 143.
Les enjeux identifient la banalisation du patrimoine et comment la limiter? Cette question est intéressante, mais le plui ne va pas au bout de la réflexion. Des éléments patrimoniaux sont biens identifiés sur les documents graphiques mais l annexe les repérant n est pas complète. Elle concerne uniquement Granville et Donville les bains avec un traitement tout a fait différent ? Pourquoi certains font l' objet d une description et pas d' autres ? Quand aux éléments repérés sur les autres communes elles sont absents de l annexe. Un cahier de préconisation pour éviter la banalisation aurait été bien vu. Le classement en L151-19 cu de ses éléments paraît alors arbitraires et sans justification. Pourquoi telle maison a cérences et pas une autre ? Le règlement quant a lui interroge ? Les articles dédiées a la qualité urbaine et architecturale sont très très court et ne permettront pas de répondre aux enjeux identifiés dans le paragraphe D.patrimoine et identité architectural. Le plui mériterait de traiter mieux toutes ces questions afin de ne pas être le vecteur de la banalisation de notre territoire. Merci pour la prise en compte de ces remarques.
Contribution n°64 (Courrier)
Déposée le 3 octobre 2025 à 11h45
Document joint
Contribution n°63 (Mairie de Cérences)
Déposée le 3 octobre 2025 à 11h34
Document joint
Contribution n°62 (Web)
Déposée le 2 octobre 2025 à 19h23
Voici les remarques que m’inspirent la nouvelle proposition de PLUi pour la commune de Jullouville.
Ce PLU menace fortement l’unité urbanistique et architecturale de notre commune et sa qualité de vie par un certain nombres de mesures. Il aggrave une situation déjà déplorée par la population qui vit mal la défiguration de sa commune et sa densification inesthétique. Il ne garanti pas la qualité de vie à laquelle les Jullouvillais et Michelais sont attachés.
1- Il faut protéger à tout prix la zone de front de mer, jusqu’à la départementale de défiguration du bâti existant et de possibles nouveaux immeubles. La vue de Jullouville depuis la mer est un ruban semi urbain d’architecture balnéaire remarquable. La zone résidentielle qui s’étend entre le littoral et la départementale est fait d’un pastillage de villas balnéaires (qui bien qu’hétérogènes) ont gardé tout leur charme et qui le perdrait si on devait le voir parsemé d’immeubles.
2-Afin d’affirmer l’identité du centre ville, sans en dénaturer la qualité de « petite station balnéaire » (déjà suffisamment défigurée comme cela….) n’autoriser que de petits R+2 inférieurs à 12 de haut).Un cercle restreint de 2 avenues autour du cœur ( les 3 avenues « du plan à la mode de Cabourg) suffirait, en veillant à protéger le style « balnéaire ». Il ne faut pas trop densifier ce centre qui car le stationnement devient un sujet conflictuel en saison et l’on sait très bien qu’il y a souvent plus d’un véhicule par ménagepar logement créé , sans compter leurs visiteurs.
3-Il faut limiter la constructibilité en périphérie de cette zone à de plus petites hauteurs (8-9m) pour pour éviter les immeubles. Jullouville les pins était une pinède ( pour absorber l’eau des sols ) et ce sont les arbres qui doivent dominer la zone résidentielle et non les toits.
3-Il ne faut pas autoriser la constructibilité de parcelles inférieures à 400 mêtres carré, même en centre ville et éviter la division des beaux jardins qui sont autant de « poumons verts » dans cette zone résidentielle. Il faut limiter les emprises au sol, pour les constructions mais aussi par les aménagements (ex : terrasses voies de garages goudronnées) et tout de qui est un frein à la perméabilité des sols. Les parcelles trop petites ne permettent plus les pelouses, allées, arbres ou arbustes haies. Or en dehors de la perméabilité à préserver, il est important de pouvoir garder la fraîcheur apportée l’été par l’ombrage, des abris naturels à la faune et préserver ainsi la biodiversité.
4-Il ne me paraît pas judicieux de rendre le parc et le château de la Mare constructible. En zone d’équipement des ajustements « à la marge » permettent de trouver une destination à ces bâtiments en évitant la spéculation immobilière : un fléau Jullouvillais.
5-Il faut rendre obligatoire et encourager les plantations d’arbres ( au moins 1 par parcelle) avec une liste d’essence ( conseillés éventuellement par le CAUE) en fonction des conditions de chaque parcelle ( superficie/quartier)
6-Il faut veiller à la protection des haies du plateau, combler les dents creuses qui sont un risque de développement des nuisibles et d’incendie l’été.
7-Il faut veiller à la protection et à la préservation des haies urbaines. La préservation des murs anciens est essentielle mais, imposer que les nouvelles séparations ne soient plus des obstacles au passage de l’eau et soient accompagnées de haies ( essences à définir).
8- Contrairement à ce que le Conseil municipal a proposé, je considère la Loi Lemeur qui n’autorise pas la construction de nouvelles résidences secondaires ( au moins dans le périmètre de la station balnéaire) comme absurde.
- Jullouville est classée et richement dotée d’une subvention de Commune touristique, obtenue grâce aux résidences secondaires,
-La résidence secondaire est notre histoire balnéaire. Ne l’inversons pas. Aucune résidence principale ne se serait construite « dans les marais insalubres » qu’étaient Jullouville avant les aannées 30 ! ( sauf les commerçants!),
-les résidences secondaires sont le cœur de notre économie et un bassin d’emploi florissant qui fait vivre bien au-delà des frontières communales,
-l’histoire et la nature de notre station balnéaire n’est pas de devenir une banlieue de Granville,
- Les résidents secondaires sont les résidents principaux de demain,
-enfin de quel droits, nos enfants ne pourraient pas se rapprocher de nous, résidents principaux en ayant une résidence secondaire?
9-Il me paraît ensuite pertinent de rendre constructible/habitable des habitats anciens abandonnés de nos villages si ils sont à portée d’un raccordement de réseau et / ou dans un « dent creuse ».
10- Il y a un certain nombre d’emplacement réservés à appuyer dans le PLU et les remarques faites par le Conseil Municipal du 15 juillet dernier :
-les accès à la mer,
-les aménagements qui permettraient des trottoirs, un arrêt de bus et un parking adjacent, un espace « de propreté » à Bouillon
-l’angle à la sortie du Cimetière de Bouillon,
-l’agrandissement du Camping Le Val Ombré etc.
Ils ont fait l’objet d’une concertation large et d’une quasi unanimité ce qui est suffisamment rare pour en révéler leur valeur.
En vous remerciant Madame, Monsieur de toute l’attention que vous voudrez bien apporter à ces réflexions.
Contribution n°61 (Web)
Déposée le 2 octobre 2025 à 19h17
Voici les remarques que m’inspirent la nouvelle proposition de PLUi pour la commune de Jullouville.
Ce PLU menace fortement l’unité urbanistique et architecturale de notre commune et sa qualité de vie par un certain nombres de mesures. Il aggrave une situation déjà déplorée par la population qui vit mal la défiguration de sa commune et sa densification inesthétique. Il ne garanti pas la qualité de vie à laquelle les Jullouvillais et Michelais sont attachés.
1- Il faut protéger à tout prix la zone de front de mer, jusqu’à la départementale de défiguration du bâti existant et de possibles nouveaux immeubles. La vue de Jullouville depuis la mer est un ruban semi urbain d’architecture balnéaire remarquable. La zone résidentielle qui s’étend entre le littoral et la départementale est fait d’un pastillage de villas balnéaires (qui bien qu’hétérogènes) ont gardé tout leur charme et qui le perdrait si on devait le voir parsemé d’immeubles.
2-Afin d’affirmer l’identité du centre ville, sans en dénaturer la qualité de « petite station balnéaire » (déjà suffisamment défigurée comme cela….) n’autoriser que de petits R+2 inférieurs à 12 de haut). Un cercle restreint de 2 avenues autour du cœur ( les 3 avenues « du plan à la mode de Cabourg) suffirait, en veillant à protéger le style « balnéaire ». Il ne faut pas trop densifier ce centre qui car le stationnement devient un sujet conflictuel en saison et l’on sait très bien qu’il y a souvent plus d’un véhicule par ménage par logement créé , sans compter leurs visiteurs.
3-Il faut limiter la constructibilité en périphérie de cette zone à de plus petites hauteurs (8-9m) pour pour éviter les immeubles. Jullouville les pins était une pinède ( pour absorber l’eau des sols ) et ce sont les arbres qui doivent dominer la zone résidentielle et non les toits.
3-Il ne faut pas autoriser la constructibilité de parcelles inférieures à 400 mètres carré, même en centre ville et éviter la division des beaux jardins qui sont autant de « poumons verts » dans cette zone résidentielle. Il faut limiter les emprises au sol, pour les constructions mais aussi par les aménagements (ex : terrasses voies de garages goudronnées) et tout de qui est un frein à la perméabilité des sols. Les parcelles trop petites ne permettent plus les pelouses, allées, arbres ou arbustes haies. Or en dehors de la perméabilité à préserver, il est important de pouvoir garder la fraîcheur apportée l’été par l’ombrage, des abris naturels à la faune et préserver ainsi la biodiversité.
4-Il ne me paraît pas judicieux de rendre le parc et le château de la Mare constructible. En zone d’équipement des ajustements « à la marge » permettent de trouver une destination à ces bâtiments en évitant la spéculation immobilière : un fléau Jullouvillais.
5-Il faut rendre obligatoire et encourager les plantations d’arbres ( au moins 1 par parcelle) avec une liste d’essence ( conseillés éventuellement par le CAUE) en fonction des conditions de chaque parcelle ( superficie/quartier)
6-Il faut veiller à la protection des haies du plateau, combler les dents creuses qui sont un risque de développement des nuisibles et d’incendie l’été.
7-Il faut veiller à la protection et à la préservation des haies urbaines. La préservation des murs anciens est essentielle mais, imposer que les nouvelles séparations ne soient plus des obstacles au passage de l’eau et soient accompagnées de haies ( essences à définir).
8- Contrairement à ce que le Conseil municipal a proposé, je considère la Loi Lemeur qui n’autorise pas la construction de nouvelles résidences secondaires ( au moins dans le périmètre de la station balnéaire) comme absurde.
- Jullouville est classée et richement dotée d’une subvention de Commune touristique, obtenue grâce aux résidences secondaires,
-La résidence secondaire est notre histoire balnéaire. Ne l’inversons pas. Aucune résidence principale ne se serait construite « dans les marais insalubres » qu’étaient Jullouville avant les années 30 ! ( sauf les commerçants!),
-les résidences secondaires sont le cœur de notre économie et un bassin d’emploi florissant qui fait vivre bien au-delà des frontières communales,
-l’histoire et la nature de notre station balnéaire n’est pas de devenir une banlieue de Granville,
- Les résidents secondaires sont les résidents principaux de demain,
Contribution n°60 (Web)
Déposée le 2 octobre 2025 à 18h08
Ce projet ne répond en rien à un besoin d’intérêt général. Le terrain concerné est actuellement engazonné, arboré et entretenu.
L’ajout de constructions et de fondations ne ferait qu’accentuer les risques d’éboulements de la falaise, déjà fragilisée. Cette parcelle, située à une altitude plus élevée que le chemin du Noroît, permet aujourd’hui aux pluies (de plus en plus fortes) d’être absorbées par la végétation.
Si un tel projet voyait le jour, le ruissellement risquerait d’envahir d’abord les maisons du chemin du Noroît, avant de dévaler la pente et d’aggraver l’instabilité de la falaise.
Il est également important de noter qu’il est déjà difficile de se garer dans ce quartier. La création de plusieurs habitations ne ferait qu’amplifier ce problème.
Ce quartier perdrait aussi son identité : avec sa belle vue sur la mer et sa situation le long de la falaise, il constitue un trait d’union de verdure entre le centre-ville et le jardin Christian Dior.
Un projet de jardin partagé ou d’un lieu de détente par exemple, serait bien plus en adéquation avec les enjeux écologiques actuels.
Contribution n°59 (Web)
Déposée le 2 octobre 2025 à 16h55
En zone Uf il faut protéger le front de mer et n’autoriser que des constructions à un seul étage. Il ne faut pas autoriser du collectif.
Il faut limiter dans la zone Ub une hauteur maximum de 9 mètres.
Il ne faut pas rendre le parc et le château de la Mare constructibles, il faut juste permettre des aménagements de l’existant.
Il faut obliger la plantation d’un arbre par maison et protéger les haies et murets sur toute la commune de Jullouville
Enfin, contrairement à ce qui a été demandé lors de la réunion du Conseil municipal du 15/07/2025, il ne faut pas interdire la construction de résidences secondaires car elles deviendront des résidences principales quand les propriétaires seront à la retraite. Il ne faut pas non plus interdire à des enfants ou des parents de résidents principaux de construire près d’eux.
Jullouville doit rester une station balnéaire familiale accueillante.
Contribution n°58 (Web)
Déposée le 2 octobre 2025 à 16h46
Objet / Demande du certificat d'urbanisme pour le terrain ZC27 situé à Bonneville . 50530 Champeaux .
Je suis propriétaire du terrain situé en zone ZC27, sur le village de Bonneville. Je souhaite exprimé mon désaccord concernant son classement , n'ayant pas été intégré en zone constructible dans le PLU.
Ce terrain d'une surface de 1691 M2 n'est plus exploitée depuis 2009 , date du décès de mon père. il longe la départementale 483 et le chemin de Bonneville en amont.
- Une première demande de reclassement a été effectuée en 2010 et une seconde en 2020.
Ces deux demandes sont restées sans suite , aucune information ne m'a été communiqué lors des précédentes révisions alors que :
1 ) Les parcelles voisines ZC 26, ZC 28 , et ZC30 ont été classées constructibles et sont aujourd'hui bâties. Ce terrain se situe entre la parcelle ZC26 et ZC28 , et longe la parcelle ZC30. Pourquoi cette rupture d'égalité entre propriétaires de parcelles voisines?
2) Mon terrain est desservi par les équipements publics nécessaires .
Assainissement collectif ( sur le chemin de Bonneville )
Les réseaux d'électricité et eau sont accessibles sur la départementale 483 .
Mon terrain s'intègre naturellement dans la continuité du bâti existant et l'aménagement du secteur.
Je demande donc le classement de la parcelle ZC27 soit réexaminée en vue de sa constructibilité dans un souci d'équité et de cohérence avec l'environnement déjà construit.
Je vous remercie de l'attention portée à ma demande et vous prie d'agréer Monsieur, l'expression de ma considération distinguée.
Pieces jointes : Courrier / PLU 2025 / Situation cadastrale du terrain/ Cadastre BONNEVILLE
Documents joints
Contribution n°57 (Courrier)
Déposée le 2 octobre 2025 à 16h23