Contribution n°124 (Web)
Déposée le 10 octobre 2025 à 15h48
Après lecture des documents voici quelques remarques :
Les origines de Jullouville et son architecture balnéaire se sont faites avec des résidences secondaires qui sont devenues souvent des multipropriétés familiales (indivisions ou SCI) qui permettent à des familles éparpillées par les aléas professionnels de se regrouper ou de se succéder pour un temps de vacances multi générationnel. Il ne faudrait pas perdre cette caractéristique qui fait partie du charme jullouvillais.
Les arbres font aussi partie du charme jullouvillais. La réduction des terrains fait qu’il devient impossible de garder de grands arbres. Jullouville les pins devient un vieux souvenir.
La proximité du Mont Saint Michel nous a évité le sabotage de la côte comme ce qui s’est produit à la Baule. Evitons la construction d’immeubles trop hauts. Les trois étages des immeubles récemment construits sont vraiment un maximum à ne pas dépasser, deux étages sur le front de mer.
Bien cordialement.
Bernard Masurel
Contribution n°123 (Mairie de Saint-Jean-des-Champs)
Déposée le 9 octobre 2025 à 15h37
Document joint
Contribution n°122 (Mairie de Saint-Jean-des-Champs)
Déposée le 9 octobre 2025 à 15h30
Document joint
Contribution n°121 (Mairie de Saint-Jean-des-Champs)
Déposée le 9 octobre 2025 à 15h28
Document joint
Contribution n°120 (Mairie de Saint-Jean-des-Champs)
Déposée le 9 octobre 2025 à 15h24
Document joint
Contribution n°119 (Mairie de Saint-Jean-des-Champs)
Déposée le 10 octobre 2025 à 15h21
Document joint
Contribution n°118 (Mairie de Saint-Jean-des-Champs)
Déposée le 9 octobre 2025 à 15h19
Document joint
Contribution n°117 (Mairie de Saint-Jean-des-Champs)
Déposée le 9 octobre 2025 à 15h18
Document joint
Contribution n°116 (Courrier)
Déposée le 10 octobre 2025 à 15h06
Document joint
Contribution n°115 (Web)
Déposée le 10 octobre 2025 à 12h40
Le cahier des prescriptions des logements collectifs (il existe un cahier des prescriptions pour les logements individuels) précisait jusqu'à maintenant une hauteur maximale à 12,00m au sommet du plan vertical de la façade ou à l’égout et 17m au faîtage.
Or sur Clémentière certaines parcelles sont très en pente, et on peut avoir une différence très marquée entre leur point haut et point bas. Sur certains lots il y aura également une différence importante entre le terrain naturel pris comme référence du permis et la côte projetée des espaces publics. Si on prend l’exemple de l’ilot A qui donne sur place : Les espaces publics seront 1m plus haut que le terrain naturel, faisant « perdre » 1m de hauteur au projet.
Ainsi, en réflexion avec notre architecte conseil et la Mairie de Granville nous avons mis à jour le CPAUPE des logements collectifs pour permettre la réalisation des volumes et des gabarits qu’on a travaillé collectivement sur la ZAC, mais dont le règlement actuel ne permettra pas l’émergence, dû aux différences importantes de niveaux et notion de « point bas » sur la parcelle.
La modification dans la version jointe du CPAUPE est donc :
P : Pour les logements semi-collectifs ou collectifs, la hauteur est limitée à 14,00m au sommet du plan vertical de la façade ou à l’égout et les constructions ne doivent pas dépasser la hauteur maximale de 18m au faîtage.
Merci de prendre en compte cette évolution dans l'élaboration du PLUi.
Je vous remercie.